Défendre l’homme par la peinture, telle est la motivation de la série de compositions civiques dans laquelle Harburger s’engage en 1949-1950. Réagissant contre la peinture faite "d’anarchie visuelle, de bariolage et de bâclage technique", l’artiste milite pour le langage naturaliste, qu’il met au service de l’homme.
Ci dessus :
Peinture Manifeste La Nature, langage universel au service de l’homme, 1949,
huile sur toile, 200 x 146 cm. Paris, coll. privée.
Ce grand triptyque, exposé au Salon des Surindépendants en 1950, met en scène un jeune homme en blouse de peintre suppliant les hommes de faire l’Europe – au nom des vieillards et des enfants.
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